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Créé le : 16/10/2011 09:30
Modifié : 20/05/2019 22:48

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presidents algeriens

04/02/2012 19:26



Ahmed Ben Bella

Né le 25 décembre 1916 à Maghnia, il suit ses études

secondaires à Tlemcen.

En 1937, il effectua son service militaire.

Marqué   par    les     événements    du  08  mai  1945,

  il   adhère au P.P.A. – M.T.L.D. qui le fait élire en 1947

Conseiller Municipal de sa ville.

Il sera responsable de l’Organisation Spéciale (O.S.),

et participe à l’attaque de la poste d’Oran en 1949  en

compagnie de Hocine Ait-Ahmed et de Rabah Bitat.

En Mai 1950, il est arrêté à Alger et condamné, 2 ans plus tard, 

à sept (07) ans de prison ; il s’évada en 1952 et se réfugie 

au Caire où il  a rejoint Hocine Ait-Ahmed et Mohamed Khider

avec qui il formera plus tard la délégation extérieure du Front

de Libération Nationale.

En 1956, il est arrêté une deuxième fois alors qu’il prenait

l’avion qui devait l’emmener du Maroc à Tunis en compagnie

de Bitat, Boudiaf, Ait-Ahmed et  Lacheraf. Libéré en 1962,

il participe au congrès de Tripoli où un différent

l’oppose au G.P.R.A.

Il rentre à Alger et le 15 septembre 1963, il

est élu Président

de la République, il est destitué le 19 juin 1965.

En 1980, il fut gracié. Il  fonde  ensuite, en France, le Mouvement

pour la Démocratie en Algérie (M.D.A.).

Il rentre définitivement en Algérie le 29 septembre  1990.

            Houari Boumediène

Mohamed Boukharouba, dont le nom de guerre est Houari

Boumediene est né le 23  août  1932  dans  la  localité 

de  Beni  Addi à 15 km de Guelma.

Houari Boumediene a poursuivi des études en arabe à l’école

coranique et en français à l’école primaire de sa ville. En 1949

il se rend à Constantine où il s’inscrit à la medersa

d’El Kettania. Durant cette période, il entame  sa  vie 

de révolutionnaire  en  adhérant  au  Partie du Peuple Algérien.

  Il  se  rendit ensuite, clandestinement  à Tunis à l’université

de la Zaitouna et enfin au Caire à El Azhar.

En 1955, il se retrouve dans la wilaya 5 (Oranie) à la tête

de laquelle il est nommé en 1957, avant de prendre

le commandement du P.C. d’Oujda, puis le commandement

opérationnel de l’ouest et enfin la direction de l’Etat-Major

de l’Armée de Libération Nationale.

Vice-Président du Conseil et Ministre de la Défense dans

le premier gouvernement de l’Algérie indépendante.

Le 19 juin 1965, il destitue le Président Ben-Bella et devient

Président du Conseil de la Révolution.

En 1968, il  est  élu  président  en exercice de l’Organisation

de l’Union Africaine.

Le 24 Février 1971, Il  nationalise  les  hydrocarbures

et les moyens de transport.

Le 10 décembre 1976,  il est élu Président de la République.

Il décède des suites d’une maladie le 27 décembre 1978.

            Chadli Ben Djedid

Né le 14 avril 1929 à Bouteldja dans la wilaya de Annaba,

Chadli Ben-Djedid s’engage des 1954 dans l’organisation

politico-militaire du F.L.N. L’année suivante il rejoint l’Armée

de Libération Nationale (A.L.N).

En 1956, il est nommé Chef de Région.

En 1957, il est désigné au poste d’Adjoint Chef de Zone.

En 1958, il est nommé Capitaine Chef de Zone.

En 1961, il fait un bref passage au commandement

opérationnel de la zone nord.

En 1962, il est nommé à la 5ème  région militaire avec

le grade de Commandant.

En 1964,il est nommé à la tête de la 2ème région militaire.

Le 19 Juin 1965,  il est membre du conseil de la révolution.

En 1969, il est promu au grade de Colonel.

En 1978, il est chargé de la coordination des affaires

de défense nationale,

En janvier 1979 il est élu par le 4ème congrès du parti

F.L.N. au poste de Secrétaire Général et désigné candidat

a la Présidence de la République.

Le 7 Février 1979, il est élu à la présidence de la république.

En 1984, il est reconduit à la tète de l’état puis réélu en 1989.

Au lendemain des événements d’octobre 1988, il engage les

réformes politiques. Il est alors élu président du FLN au

6ème congrès du Parti. Juste après son élection pour

le troisième mandat, il fait doter l’Algérie en février 1989

d’une constitution garantissant le multipartisme. Le 11 janvier

1992 il  démissionna du poste de Président de la       République.

 

            Mohamed Boudiaf

Mohamed  Boudiaf  est  né le 23 juin 1919  à  Ouled Madi (Wilaya M’sila).

 En 1942, il est commis aux écritures au service des Contributions à Jijel.

Il adhère au  P.P.A.  et devient un membre important

de l’organisation Spéciale ( O.S ).

 En 1950, il est jugé et condamné  par contumace ;

  il rejoint la France en 1953 et devient membre du M.T.L.D.

Il rentre en Algérie et devient l’un des principaux organisateurs

du C.R.U.A. (Comité Révolutionnaire pour l’Unité et Action),

membre du groupe des 22 ayant déclenché la guerre de libération.

 Le  22 octobre 1956  il est capturé avec ses compagnons

suite à l’arraisonnement par l’aviation française de l’avion

qui les menait du Maroc vers la  Tunisie.

 Le 20 septembre 1962, il fonde le Parti de la Révolution

Socialiste (P.R.S.). En juin 1963, il est arrêté et exilé dans

le sud Algérien où il reste détenu pendant trois mois puis

il rejoint le Maroc. A partir de 1972, il se déplace entre la France

et le Maroc en activant  pour son parti, le P.R.S. et en animant

la revue El Djarida.

 En 1979, après la mort de Houari Boumediene, il dissout le

P.R.S et va se consacrer à ses activités professionnelles en

dirigeant à Kénitra au Maroc une briqueterie.

 Le 14 janvier 1992, après la démission du Président Chadli

Ben-Djedid, il devient Président du Haut Comité d’Etat. Il

meurt assassiné le 29 juin 1992 à Annaba.

 

Liamine Zeroual

Né le 03 juillet 1941 à Batna. A 16 ans, il rejoint les rangs

de l’Armée de Libération Nationale (A.L.N.).

 Il participe à la guerre de libération entre 1957 et 1962.

 Diplômé de l’école militaire de Moscou et de l’école de guerre

de Paris, il exerce différentes fonctions au sein de

l ’Armée Nationale Populaire (A.N.P.).

 · D’abord,  commandant de plusieurs écoles militaires

(Batna, Cherchell)  puis commandant de  plusieurs régions

militaires (sixième, troisième et cinquième régions), Il  devient 

commandant   des forces terrestres en 1989  avant 

de  démissionner  en 1990.

 · Il fut ambassadeur de l’Algérie en Roumanie  pendant 

une  courte  période  avant de quitter  ce poste.

 · En juillet 1993, il est nommé Ministre de la Défense Nationale.

 Le 30 janvier 1994 il est désigné à la tête de l'état pour

assurer  la période de transition.

 1er président à avoir été élu dans  un  scrutin

pluraliste le 16 novembre 1995.

 Le 11 septembre 1998, il annonce dans son discours

à la nation la  tenue  d’élections présidentielles anticipées.

Il quitte la présidence de la république le 27 Avril 1999.

            Abdelaziz Bouteflika

Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour

la cause nationale ; il achève ses études secondaires quand

il rejoint L'armée de Libération Nationale (ALN) en 1956.  

Il est chargé d'une double mission de contrôleur général

de la wilaya V en 1957 et 1958.  Officier en zone 4 et en zone

7 de la Wilaya V, il est ensuite attaché au PC de la wilaya V,

puis, successivement, au PC du «COM Ouest», au PC de

l'état- major «Ouest» et au PC de l'état- major général

de l'ALN. En 1960, le Commandant Abdelaziz Bouteflika

est affecté aux frontières méridionales du pays pour

commander le «front du Mali » dont la création entrait

dans le cadre des mesures visant à faire échec aux

entreprises de division du pays de la part de la puissance

coloniale; ce qui lui vaudra le nom de guerre de Si Abdelkader El Mali.

En 1961 il entre clandestinement en France dans le cadre

d'une mission de contact avec les leaders historiques de

la Révolution détenus à Aulnoy.

En 1962, Abdelaziz Bouteflika est député à 1 'Assemblée

Constituante et devient, à 25 ans, ministre de la jeunesse,

des sports et du tourisme du premier gouvernement de l'Algérie

indépendante. Il est également membre de l’assemblée législative en

1963, avant d'être nommé, la même année, ministre des affaires étrangères.

En 1964 il est élu par le congrès du front de Libération Nationale

en qualité de membre de comité central et  membre du bureau

politique. Abdelaziz Bouteflika prend une part active au réajustement

révolutionnaire de juin 1965 qui verra l'instauration du Conseil

de la Révolution - dont il est membre - sous la présidence

de Houari Boumediène.

Reconduit dans les fonctions de ministre des affaires étrangères,

il anime, jusqu'en 1979, une action diplomatique qui vaudra

à son pays un prestige, un rayonnement et une influence qui

établiront l'Algérie comme un des leaders du tiers monde, et,

à ce titre, comme interlocuteur recherché des grandes puissances.

Il définit ainsi la ligne directrice dont la diplomatie algérienne ne

se départira plus par la suite, fondée sur le respect du droit

international et le soutien aux causes justes à travers le monde.

Diplomate chevronné et reconnu, Abdelaziz Bouteflika impulsera,

pendant plus d'une décennie, la politique étrangère qui mène

aux grands succès de la diplomatie algérienne, dont le renforcement

et l'unification des rangs arabes lors du sommet de  Khartoum de 1967,

puis lors de la guerre d'octobre 1973 contre Israël, la reconnaissance

internationale des frontières de l'Algérie et l'instauration de relations

de bon voisinage et de fraternité avec les pays limitrophes, ou encore 

l'échec de l'embargo contre l'Algérie suite à la nationalisation

des hydrocarbures.

Elu à l'unanimité Président de la 29ème session de l'Assemblée générale

des Nations Unies, en 1974, Abdelaziz Bouteflika obtient la mise au ban

par la communauté internationale du régime sud-africain pour sa politique

d'apartheid et fait admettre, malgré les oppositions, le leader de l

'Organisation de Libération de la Palestine, feu Yasser Arafat,

qui prononcera un discours devant l'Assemblée Générale. 

Il préside également, en 1975, la 7ème session extraordinaire

consacrée à l'énergie et aux matières premières dont l'Algérie

était l'un des initiateurs.

A la mort du Président Boumédiène, en 1978, et  en tant que 

plus proche compagnon du défunt, il prononce une oraison funèbre

remarquée. Mais il devient, dès cette année, la principale

cible de la politique de «déboumédiènisation» et est contraint

à un exil qui durera plus de 6 années.

Il est de retour en Algérie en janvier 1987 et sera signataire

de la «motion des 18» consécutive aux événements d'octobre 1988. 

Il prend part au congrès du FLN en 1989, qui l'élira membre du comité central.

Pressenti pour occuper les fonctions de ministre-conseiller du 

Haut Comité d'Etat, instance présidentielle transitoire mise en

place entre 1992 et 1994, puis de représentant permanent auprès

de l'ONU, Abdelaziz Bouteflika décline ces propositions, comme

il ne donnera pas suite, en 1994, aux sollicitations dont il est

l'objet en vue de son accession aux fonctions de chef de l’Etat

dans le cadre des modalités et des mécanismes de la transition.

En décembre l998, il fait part de sa décision de se présenter,

en tant que candidat indépendant, à l'élection présidentielle

anticipée d’avril 1999. Abdelaziz Bouteflika est élu Président

de la République le 15 Avril 1999.

Dès sa prise de fonctions, le président Abdelaziz

Bouteflika réaffirme sa détermination à rétablir la sécurité,

la paix et la stabilité. A cette fin, il engage un processus législatif

de concorde civile, consacré, le 16 septembre 1999, par

un référendum qui recueille plus de 98% de suffrages favorables.

Le 22 février 2004, Abdelaziz Bouteflika annonce
son intention de se présenter pour un second mandat
présidentiel. Fort des résultats positifs de son premier mandat,
 il mène campagne pour défendre les grands thèmes de son
 projet de société, notamment la réconciliation nationale,
 la révision du code la famille, la lutte contre la corruption
et la poursuite des réformes engagées






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